Saint du jour, Saint Breton, Saint patron, Ange du jour, fete du jour...
Quel est le Saint du jour?
le nous fêtons Saint Constantin.
Bonne fete
. Constantin Brancusi (1876-1957) - Sculpteur. Bien que né avant 1900, son influence sur l'art moderne est immense, et il est souvent célébré pour ses œuvres emblématiques comme "L'Oiseau de l'espace".
. Constantin Costa-Gavras (né en 1933) - Réalisateur et Scénariste. Figure majeure du cinéma français, connu pour des films engagés comme "Z" et "L'Aveu".
. Constantin Melnik (né en 1942) - Écrivain et Journaliste. Auteur de romans et d'essais, notamment sur les sujets de société et de politique.
. Constantin Dumitraș (né en 1978) - Chanteur et Musicien. Membre du groupe de musique française "Kočani Orkestar", spécialisé dans la musique tsigane et balkanique.
. Constantin Brissaud (né en 1971) - Acteur. Apparu dans de nombreuses productions théâtrales et télévisuelles françaises, notamment dans des séries à succès.
Saint du jour
le nous fêtons Saint Constantin.
Constantin, prénom dérivé de Constant (23 septembre)
Du latin constantia, "constance" Saint Constantin (280-337) En 313, par l'édit de Milan, cet empereur accorde la liberté de culte aux chrétiens et met fui aux persécutions. Il est baptisé sur son lit de mort.
Très énergiques, les Constantin ne connaissent pas les états d'âme et foncent, quitte à tout écraser sur leur passage. Et il ne faut pas compter sur eux pour assumer les conséquences de leur précipitation... Ce sont toutefois des travailleurs sérieux et acharnés, qui le plus souvent réussissent dans la vie professionnelle et sociale. Mais ils ont tendance à délaisser leurs proches. Prénoms dérivés : Constantin, Constantino, Konstantin, Kostati, Kostas, Kostia, Tina, Tino...
Aujourd'hui, nous célébrons, nous fêtons également :
Second Fem. Seconde
Martyr en Egypte vers 258
Du latin secundus, "suivant".
Prénoms dérivés : Secunda.
Saints du jour .
Nous célébrons, nous fêtons également :
Saint Eugène de Mazenod (1861) - Évêque de Marseille, fondateur des Oblats de Marie-Immaculée, figure emblématique de la charité et de la dévotion, représentatif de la vie religieuse et de la fondation de congrégations dédiées à l'éducation et au service des pauvres.
Saints Cristóbal Magallanes et ses 24 compagnons (1927) - Martyrs mexicains, exemples de courage et de foi face à la persécution, représentatifs des martyrs du XXe siècle et de la défense de la liberté religieuse.
Saint Polyeucte (IIIe siècle) - Martyr, représentatif des premiers martyrs chrétiens, et de la diffusion du christianisme dans l'Empire romain, vénéré pour son courage et sa foi face à la persécution.
Sainte Gisèle (IXe siècle) - Ermite, exemple de dévotion et de spiritualité dans la tradition médiévale, représentative de la vie érémitique et de la quête spirituelle individuelle.
Saint Godric (1170) - Ermite, représentatif de la vie érémitique en Angleterre au Moyen Âge, et de la dévotion ecclésiastique, exemple de leadership et de spiritualité dans les communautés religieuses.
Saint Thibaud de Vienne (1001) - Évêque, figure notable dans l'histoire ecclésiastique de la Gaule mérovingienne, et la consolidation du christianisme en Dauphiné.
Saint Hemming (1366) - Évêque de Finlande, important pour la christianisation de la Finlande, et la consolidation du christianisme dans les régions nordiques.
Saint Hospice (VIe siècle) - Ermite, représentatif de la vie érémitique en Gaule à la fin de l'Antiquité, et de la quête spirituelle individuelle dans les premiers siècles du christianisme.
Saint Mancius (VIe siècle) - Martyr à Évora, Portugal, exemple de courage et de foi face à la persécution, vénéré dans la tradition martyrologique chrétienne.
Saints Nicostrate, Antioche et leurs compagnons (303) - Martyrs, représentatifs des martyrs de l'Antiquité tardive, et de la persécution des chrétiens sous Dioclétien, vénérés pour leur courage et leur foi.
Saint-Patron et intercesseur du jour
Constantin, patron des travailleurs du bâtiment
Sainte Gisèle, était invoqué pour obtenir la guérison de la fièvre, des affections de la peau et des difformités.
Fete
Constantin
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Constantina
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Costantin
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Coustantin
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Second
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Seconda
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Tina
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Tino.
Calendrier Saint Breton
Le 21 MAI nous fêtons les Awen et Konstantin.
Anniversaires du jour
Ils sont nés le 21 MAI :
1994 - Tom Daley, plongeur britannique, spécialiste de la plateforme de 10 mètres, champion olympique, champion du monde et d'Europe 1991 - Sarah Ramos, actrice américaine 1985 - Mark Cavendish, coureur cycliste mannois et britannique 1974 - Fairuza Balk, née Fairuza Feldthouse, actrice et musicienne américaine 1972 - Stomy Bugsy, né Gilles Duarte, rappeur et acteur français
Aujourd'hui c'est votre anniversaire ?
Ce texte est uniquement pour vous :
Cette année, peu de changements, mais des étapes de transition. Vous aurez à vous reposer d'une fatigue due au stress. Vous trouverez beaucoup de compréhension en famille. Vous vivrez un amour fait de tendresse partagée.
Le 21 mai c'est votre anniversaire ?
Votre Ange Gardien est Iézalel : Fidélité.
Ange du jour
Le 21 mai, l'Ange Gardien du jour est Umabel.
Informations complémentaires
21 mai : UMABEL
Réussite avec des amis grâce à vos pensées concrètes.
Invocation : Je souhaite, Seigneur, aimer plus, devenir plus serviable ! Eclaire mon Destin !
Né à Aix-en-Provence en 1782, il vit en exil en Italie durant la Révolution française. A son retour, après une période de réflexion, il entre en 1808 au séminaire Saint-Sulpice de Paris. Trois ans après, il est ordonné prêtre et revient à Aix exercer son ministère auprès des pauvres. En 1816, il fonde les Missionnaires de Provence qui deviendront les Oblats de Marie Immaculée. Nommé vicaire général de son oncle, archevêque de Marseille, il lui succède en 1837 et, tout en s’occupant des Oblats, il développe la vie de son diocèse, marqué par les suites de la Révolution et les secousses sociales de l’époque. Il dirige les Oblats vers les missions les plus difficiles comme celles du Grand Nord.
"Chaque fois qu’un homme de Dieu annonce la parole et dit ce mot qui semble usé : "Mes frères !", il annonce en toute vérité que ceux qui font la volonté du Père sont d’authentiques frères de Jésus."
« Prenez sur vous Mon joug, et apprenez de Moi que Je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos de vos âmes. »
(Mt. 11, 29)
SAINT ANDRÉ BOBOLA (1591-1657)
Jésuite, martyr
Saint André naquit en Pologne, à Sandomir. La famille Bobola, une des plus illustres de la Pologne, protégeait les Pères Jésuites de tout son pouvoir. Afin de récompenser leur zèle pour la foi, Dieu permit qu'un de ses membres devint un glorieux martyr de la Compagnie de Jésus.
André fit ses études chez les Jésuites de Vilna. Il entra au noviciat en 1609, et en 1613, il se consacrait à Dieu par les voeux perpétuels. Plusieurs villes de Pologne seront tour à tour témoins de son zèle infatigable. Saint André Bobola possédait le talent spécial de ramener à Dieu les pécheurs publics les plus endurcis. Il manifestait aussi un goût particulier pour l'enseignement du catéchisme aux enfants.
C'est dans la ville de Pinsk que le Père Bobola exerça le plus d'influence. L'essor donné au collège de cette ville, les conversions opérées parmi les orthodoxes, la fondation d'une congrégation de la Sainte Vierge pour les paysans, comptent au nombre des plus belles initiatives de l'apôtre durant ses trois années de ministère dans cette cité.
Après six ans d'absence, soit en 1652, André Bobola est de retour. Le Saint eut à endurer maintes persécutions, insultes et mauvais traitements de la part des autorités schismatiques.
Le 16 mai 1657, des Cosaques sanguinaires arrêtèrent saint André Bobola au hameau de Mohilno et lui firent subir de tels supplices, qu'au témoignage de la Congrégation des Rites «jamais un si cruel martyre ne fut proposé aux discussions de cette assemblée.» Leur impuissance à faire abjurer Bobola irrita les Cosaques.
Ils le flagellèrent jusqu'au sang, après quoi ils enserrèrent sa tête dans une couronne de branches et lui scalpèrent le dos des mains. Vint ensuite la course à l'arrière des chevaux, scandée de coups et d'imprécations. Puis ses bourreaux lui meurtrissent la main droite d'un coup de sabre, lui tranchent le talon droit et on lui crève un oeil. Avec un plaisir sadique, ces inhumains suspendent le martyr par les pieds et lui promènent des torches brûlantes par tout le corps.
Un des guerriers trace une tonsure sanglante sur la tête du martyr et l'arrache brutalement de son crâne enfiévré. D'autres lui enlèvent la peau des mains, coupent l'index gauche et l'extrémité de chaque pouce. Ensuite, ils décharnent son dos et ses bras. N'étant pas encore rassasié de le voir souffrir, ces barbares étendent le saint confesseur sur une grande table et emplissent les plaies vives du dos avec de la paille d'orge finement hachée, qu'ils introduisent dans ses chairs en riant et chantant.
On lui coupe une oreille, le nez, les lèvres, accompagnant le tout de coups de poing et de soufflets qui lui font sauter deux dents. Quelques-uns enfoncent des éclats de bois sous les ongles des mains et des pieds. Afin d'empêcher le Saint de prier vocalement, ces démons incarnés lui arrachent la langue par un trou pratiqué dans le cou. Cette mutilation et un coup de poinçon donné dans la région du coeur, font évanouir le martyr. Enfin, on achève saint André Bobola de deux coups de sabre qui lui tranchent la tête, puis on jette son corps sur un tas de fumier.
Les catholiques recueillirent sa dépouille et l'ensevelirent dans l'église. En 1755, le Père André Bobola fut déclaré vénérable, et en 1853, le pape Pie IX le déclara bienheureux. Son corps restait toujours parfaitement intact. Le jour de Pâques, 17 avril 1938, le pape Pie XI l'inscrivit au catalogue des Saints. Aujourd'hui, les schismatiques eux-mêmes vénèrent ce saint martyr.
(F. Paillart, édition 1900, p. 151-152. -- Saints et Bx de la Compagnie de Jésus, édition 1941, p. 99-108)
SAINT HOSPICE (581)
Reclus, en Provence
Hospice (ou Hospicius), personnage de grand mérite, illustre par ses miracles, vivait au VIe siècle. Il se renferma dans une vieille tour abandonnée, près de Villefranche, à une lieue de Nice, en Provence, pour y pratiquer les exercices de la pénitence loin des vains bruits du monde. Vêtu d'un rude cilice, il portait sur sa chair nue de grosses chaînes de fer; un peu de pain et des dattes faisaient sa nourriture; mais, en carême, il ne prenait que des herbes ou des racines.
Dieu le favorisa du don des miracles et du don de prophétie. Il prédit l'invasion des Lombards dans le midi de la France, et en effet, quelques années plus tard, ces hordes barbares vinrent ravager nos provinces et mettre tout à feu et à sang.
Les farouches soldats rencontrèrent le saint reclus dans sa masure déserte, et, à la vue de ses chaînes, le prirent pour un malfaiteur. Le Saint leur avoua qu'il était très criminel et indigne de vivre. Alors l'un d'eux leva le bras pour lui fendre la tête de son sabre; mais son bras, paralysé tout à coup par une force invisible, laissa tomber l'arme à terre. A cette vue, les barbares terrifiés se jettent aux pieds du solitaire et le prient de secourir leur camarade. Hospice, par le signe de la Croix, rendit la vigueur à son bras. Le soldat objet de ce châtiment et de ce miracle fut tellement touché, qu'il demeura près du Saint, résolu d'être son disciple et de marcher sur ses traces.
Hospice rendit l'ouïe et la parole à un sourd-muet qu'un diacre d'Angers conduisait à Rome, au tombeau des Apôtres et des martyrs, pour implorer leur secours. Émerveillé du prodige, le diacre s'écria: "Pourquoi donc aller à Rome? Nous avons trouvé ici la vertu de Pierre, de Paul, de Laurent, des Apôtres et des martyrs." Mais le Saint lui répondit: "Ne parlez pas ainsi; ce n'est pas moi qui ai guéri ce malade, c'est Dieu qui a réparé Son ouvrage." C'est ainsi qu'ennemi de la vaine gloire, il rapportait tout à Dieu. On le vit ensuite rendre la vue à un aveugle de naissance, délivrer une jeune fille possédée du démon et chasser trois démons du corps d'une femme.
Enfin Hospice ressentit les approches de la mort, et annonça que dans trois jours il quitterait la terre pour le Ciel. Un homme, étant venu le voir malade pour s'édifier, lui manifesta son étonnement de le voir ainsi chargé de chaînes et couvert de plaies, et lui demanda comment il avait pu tant souffrir: "Celui pour qui j'ai souffert m'a fortifié et soutenu; je touche à mon repos." Il mourut couché sur un banc et les mains levées au Ciel, le 21 mai 581.
(Extrait Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. : Amazon)